Concours Game Odyssey de JUIN 2012
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Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Bonjour à tous,
Game Odyssey est en place depuis 3 mois, nous avons acquis le nom de domaine et créé le forum récemment. A présent, nous cherchons à recruter à titre bénévole un rédacteur pour nous développer davantage.
Notre spécificité, pour nous démarquer de nos collègues, c’est l’accent placé sur la critique et sur la sensibilité de chaque rédacteur. Vous aurez remarqué que sur les sites et les magazines généralistes, les tests se ressemblent à peu prés tous dans le style d’écriture et la présentation, car l’analyse est souvent clinique, impersonnelle.
Nous voulons mettre en avant l’approche de chacun, et juger un jeu en rapport à ses qualités, en dehors du buzz, du hype, du nom de l’éditeur et du développeur etc.
Ainsi, nous demandons aux concurrents pour le poste de rédacteur d’écrire un test de leur cru, et ce dans une totale liberté d’expression.*
Tant que vous êtes intéressants à lire et que vos arguments tiennent la route, c’est tout ce qui compte.
Les images sont conseillées et n’hésitez pas à faire preuve d’humour et surtout marquez votre travail de votre griffe personnelle.
Pour postuler, poster simplement votre test sur ce topic du forum.
Nous savons que Game Odyssey est un petit site actuellement, mais nous souhaitons sincèrement nous démarquer de tous les clones des grands sites sur le jv, et apporter notre approche personnelle sur l’actualité vidéo-ludique.
1er prix : test publié sur notre site + place de rédacteur
2éme prix : test publié sur notre site + goodie offert. ^^
3éme prix : test publié sur notre site.
POSTEZ VOS TESTS À LA SUITE DE CE MESSAGE.
NE CRÉEZ PAS DE NOUVEAUX SUJETS, ILS SERONT SYSTEMATIQUEMENT EFFACÉS.
*Les réponses aux tests des participants ainsi que les messages n'ayant rien à voir avec ces derniers seront effacés sans préavis.
Ne postez que vos tests. Un seul test par participant. Pas de multi-comptes, les adresses IP seront vérifiées. La durée du concours n'est pas établie. La fin de ce dernier sera, bien évidemment, annoncée une semaine avant environs. Si vous avez des questions, postez les directement sur l'article concerné via les commentaires à cet adresse: http://www.game-odyssey.fr/article-le-concours-de-game-odyssey-fr-104432072.html.
Les réponses sont assurées.
Dernière édition par Marty le Mar 10 Juil - 12:29, édité 3 fois
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
WHY ?
Je veux juste aider, s'il vous plait !
Graphiste pour toujours.
EDIT: Je veux/peux être rédacteur aussi.
Assassin's Creed 3 ou la théorie du gavage
Si les deux premiers assassin's creed avaient posés les bases de la série et marqué leur époque, ubisoft décide depuis maintenant quelques années de se lancer dans la mode de l'agroalimentaire. Cette méthode consiste a apporter un aliment (souvent infect) directement dans l'estomac du sujet en augmentant la quantité encore et encore pour ensuite l'engraisser et le manger à son tour. On appelle cela le gavage.
Ubisoft a donc choisi de gaver sa clientèle en nous proposant désormais chaque année une bouse infâme et sans saveur. Et une fois que vous aurez dépensé tout votre fric, vous vous retrouverez encore face à un nouveau tas de crottin, et vous n'aurez plus qu'à tenter de vous pendre. Voici donc, après Brotherhood et Revelations, le troisième chapitre de la saga du père Desmond aux 300 000 ancêtres assassins.
Sois-disant en préparation depuis la fin du deuxième assassin's creed, cet épisode se veut plus grandiose et place le héros, Connor, en pleine guerre d'indépendance Américaine. Mais tout de suite receuillons l'avis de Steven, 12 ans, fan de la license:
"Il a un tomahawk caume dan black ops "
Merci steven pour cette analyse percutante.
Précisons également que le jeu permettra de participer à des batailles rangées gigantesque similaires à celle présentée dans le trailer. Un point indispensable pour tout jeu d'infiltration basé sur l'assassinat et la furtivité.
Ubisoft a-t-il tué sa série? Depuis longtemps en fait, et on ne rattrape pas le temps perdu.
Il manque juste les images.
Soit graphiste, soit rien.
Vous êtes sûr ? C'est la dernière fois que je le demande. Votre décision serra importante.
Je veux juste aider, s'il vous plait !
Graphiste pour toujours.
EDIT: Je veux/peux être rédacteur aussi.
Si les deux premiers assassin's creed avaient posés les bases de la série et marqué leur époque, ubisoft décide depuis maintenant quelques années de se lancer dans la mode de l'agroalimentaire. Cette méthode consiste a apporter un aliment (souvent infect) directement dans l'estomac du sujet en augmentant la quantité encore et encore pour ensuite l'engraisser et le manger à son tour. On appelle cela le gavage.
Ubisoft a donc choisi de gaver sa clientèle en nous proposant désormais chaque année une bouse infâme et sans saveur. Et une fois que vous aurez dépensé tout votre fric, vous vous retrouverez encore face à un nouveau tas de crottin, et vous n'aurez plus qu'à tenter de vous pendre. Voici donc, après Brotherhood et Revelations, le troisième chapitre de la saga du père Desmond aux 300 000 ancêtres assassins.
Sois-disant en préparation depuis la fin du deuxième assassin's creed, cet épisode se veut plus grandiose et place le héros, Connor, en pleine guerre d'indépendance Américaine. Mais tout de suite receuillons l'avis de Steven, 12 ans, fan de la license:
"Il a un tomahawk caume dan black ops "
Merci steven pour cette analyse percutante.
Précisons également que le jeu permettra de participer à des batailles rangées gigantesque similaires à celle présentée dans le trailer. Un point indispensable pour tout jeu d'infiltration basé sur l'assassinat et la furtivité.
Ubisoft a-t-il tué sa série? Depuis longtemps en fait, et on ne rattrape pas le temps perdu.
Il manque juste les images.
Soit graphiste, soit rien.
Vous êtes sûr ? C'est la dernière fois que je le demande. Votre décision serra importante.
Tyler The Creator- Dépucelé
- Messages : 139
Date d'inscription : 29/03/2012
Age : 28
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Je m'excuse à l'avance pour le manque de création de ma part pour les photos, mais je n'ai pas de logiciel vraiment performant pour ce genre de tache.
Pour ce premier test de ma part, je m’attaque à SSX, un jeu de Snowboard déjanté où les tricks les plus fous sont permis mais surtout recommandés.
Jouabilité :
Relativement facile à prendre en main, se faisant avec le joystick gauche pour les déplacement latéraux (les seuls autorisés) et pour les figures, soit avec les boutons Y, B, X et A pour la manette Xbox 360 (la version testée) et les similaires pour sa consoeur PS3 et faire des combinaison du genre : Y puis X pour prendre le haut de la planche avec la main gauche, et les tricks Tricky en utilisant les 2 gachettes RT /LT plus une touche au choix, ou encore avec le joystick droit. Je recommande les boutons, bien plus simple.
Rajoutez à cela la touche RB pour utiliser les équipements du style Wingsuit (vous permettant de planer quelque temps au dessus de crevasse très étendue, à l’origine impossible à traverser en un saut normal, bien qu’aucun saut dans ce jeu ne soit normal), le masque à oxygène pour éclaircir l’écran (celui-ci s’entourant d’une bordure noir se refermant vers le centre au fur et à mesure que l’oxygène manque, pour signifier une perte de conscience) etc…
S’ensuit la touche RT pour le turbo dont la barre se remplit au fur et à mesure de vos tricks et grinds, cette même barre qui passe une fois pleine en mode Tricky, ce qui signifie dans le jeu boost infini durant un laps de temps certain et de nouvelles figures rapportant plus de point.
La touche LT pour une modification des figures.
Pour finir, la touche LB pour le Rewind le plus calamiteux qu’il m’est était donné de voir ! Le rewind dans un jeu doit vous permettre de récupérer une erreur. Et bien pas celui-ci, non ! Lui, il vous fait perdre plus qu’autre chose ! Je vous recommande d’ailleurs de recommencer la course depuis le départ plutôt que de l’utiliser. Un exemple ? Ok : Vous faites un Big Jump et votre perso fait une chute mortelle dans une fosse sans fond, utiliser le rewind vous fera revenir en arrière, normal, et vous fais perdre des points durement acquis. Si on en restait là ça irait, la perte de point étant ainsi dû pour éviter un abus de ce système, mais rajoutez-y en sus le fait que tout vos concurrents continuent la course, puisque n’étant pas infectés par votre retour en arrière, saupoudrez le tout de la lenteur de votre perso à revenir où il faut, et vous obtenez un foutage de gueule monstre, comme sait si bien le faire EA.
Mais dans l’ensemble tout répond correctement.
Graphismes :
Pas transcendants, ils restent plutôt réussis dans l’ensemble. Je déplore un léger manque de couleurs criardes, et s’il est vrai qu’en montagne IRL c’est le cas, dans un jeu qui se veut fun avec un esprit délire et surréaliste, cela aurait plus collé au ton donné par le jeu, mais je chipote.
Durée de vie :
En solo, avec une petite dizaine de massifs différents et environ 5 courses sur chacun d’entre eux, sachant que certaines courses peuvent se finir entre 2.30 minutes et presque 5 minutes pour les plus longues… c’est cour.
Alors bien sûr il y a un mode multi, aussi complet que le solo puisqu’il reprend les mêmes courses, mais pour la rejouabilité du solo c’est niet. Et pas question de refaire les courses pour améliorer ses chronos, puisque le mode « Exploration » vous permet de le faire tout en vous frottant aux temps de vos ami(e)s grâce au « Rider Net », la version SSX de « l’Autolog » apparu dans Need for Speed Hot Pursuit et imposé dans chaque jeux, ou presque, portant le sigle EA et ayant un nom différent propre à chaque licence.
Sinon refaire le solo pour gagner plus d’argent pour obtenir de nouvelles planches, ou de nouvelles couleurs pour les tenues ?! Non le multi suffit !
L’histoire alors ? Pas vraiment, elle glisse au ras des pâquerettes, en même temps il ne faut pas demander du Shakespeare pour ce genre de jeu, mais en faire une intéressante serait la moindre des chose, hors là on se retrouve avec seulement 1 seul perso qui parle, Zoe, les autres se contentant d’une mini BD non traduite dans notre langue si chère à nos cœur, et à première vue trop cher pour l’éditeur, qui se contente d’embaucher les meilleurs riders au monde pour en battre… un seul. Très captivant en effet.
Tu es l'élu, The One, le meilleur au monde, et pour te battre je dois embaucher les meilleurs... alors tu veux faire partie de ma team?!
Son:
Là, là y a du lourd ! Niveau musique c’est l’éclate. Entre de l’electro, du rock, du rap il y en a pour tous les goûts de joueur normalement constitués, pour les autres, fan de Bach, Beethoven ou que sais-je, c’est pas la peine de chercher.
A savoir que la playlist du jeu et personnalisable, donc à vous de choisir quelle musique vous souhaitez avoir pendant le jeu, et vous pouvez choisir si elles seront ordinaires ou remixées pendant vos descentes, puisque celles-ci évolueront si vous chutez ou atteignez le stade Tricky mentionné plus haut.
Vos musiques enregistrées sur le DD peuvent aussi être choisis, mais pas d’illusion, aucune version remix de votre « Danse des canards » ou de « Just because of you » (la B.O. des Bronzés font du ski) ne se fera, et elle ne pourront pas se mélanger aux musiques officielles du jeu !
Le bruitage à proprement parlé se veut réussi, de celui de la poudreuse à l’hélico en passant par la prise des planches ou des grinds sur les barres, c’est du all good.
I.A. :
C’est la question que je me pose ! Y’a (I.A.) une intelligence artificielle ? Non parce que se contenter de faire la course en engrangeant un maximum de point ou d’être le plus rapide sans chercher à nuire le joueur, certes cela évites des coups de rage de la part du joueur, mais le coté fun de la licence prend du plomb dans la Wingsuit.
Difficulté :
Pas très difficile quand on connaît les pistes, c’est une autre paire de manche quand c’est la première descente.
Mais la plus grosse difficulté vient des équipements fournis pour des courses précises. Quand certains sont passifs (les crochets/piton à glace, lumière frontale, armure…) qui ne nécessite aucune manipulation de votre part, d’autre (Wingsuit, masque à oxygène…) s’utilisant via la touche LB de votre manette, peuvent vous nuirent fortement et enlever le plaisir de jouer, ce qui est surtout le cas de la Wingsuit, les autres rajoute surtout une difficulté plutôt bienvenue pour ceux qui recherche ce genre de défis, quand aux joueurs les plus relax qui recherchent le fun avant tout, (j’en fais parti) ça peut éventuellement les frustrer.
Pour en revenir à la Wingsuit, faire des pistes où l’on enchaîne les sauts et l’utilisation de cet équipement sans nous laisser le temps de faire des tricks entre 2, me donne l’impression de jouer à un Ace Combat raté.
Utiliser la Wingsuit au lieu du Rewind aurait été une option bien plus judicieuse, messieurs les développeurs.
Et pour les pistes de glisse, chaque massif (Himalaya, Alpes, Alaska…) offres des descentes différentes dans la façon de les parcourir, comme des pipelines, la Grande muraille de Chine, des cavernes sombres, des arbres couchés en pleine nuit ou encore des rails de chemin de fer, c’est bon à prendre.
Manque par contre la gestion de la position du joueur en plein saut. En effet, dans les anciens SSX, utiliser une figure en mode Tricky augmentait le score de façon considérable, mais pouvait aussi vous en faire perdre tout autant si la figure exécutée était plus longue à se terminer que ne l’était la distance du saut, ou que la position du joueur n’était pas adéquate avec une réception réussi sur la planche. Ici, quelque soit votre trick, lâchez les touches et votre perso se mettra automatiquement dans la position la plus souhaitable pour éviter un crash sur la tête façon autruche dans la neige.
Vive les joueurs manchots quoi, sur la neige c’est le top !
Rajoutez-y une descente vu de face et en hauteur pour les courses contre les avalanches, qui offre une autre façon de jouer, et donc une difficulté en plus. Mais avec une vue classique, ne pas voir la neige nous foncer dessus aurait rajouté plus de stress.
En résumé :
SSX n’est pas le fils prodigue de ces jeux qui misaient tout sur le délire, le fun et le coté arcade, mais l’essentiel est là et il le fait bien. Reste des idées pour le renouveau de cette licence, pour la plupart mal gérées, qui ont le mérite d’exister mais qui laissent un goût amer. A améliorer pour une éventuelle suite donc.
_________________________________________________________
Xced R :
Tu as fait un test très précis Xced R, un peu trop peut-être. A la rigueur, ce ne serait pas un mal si tu agrémentais tes descriptions d'une touche d'humour, d'une métaphore. Il y a quand même une petite griffe personnelle de temps en temps, par contre évite de décrire la config, c'est lourd et ça casse le rythme. Explicite aussi le jargon, car on s'y perd un peu quelquefois.
Enfin, les transitions entre les différentes parties doivent se faire dans le texte même, pas en usant d'un titre "gameplay", "graphismes" etc. Je sais que certains sites encourage cela, mais à la rigueur fait preuve d'imagination dans ce cas comme les testeurs de gamekult.
Ton article me fait un peu penser aux tests de no frag, très pointu, très détaillé. Avec une personnalité plus présente et une construction du test plus osée, ou sinon mieux déguisée derrière son classicisme, cela aurait été encore mieux.
SSX
Pour ce premier test de ma part, je m’attaque à SSX, un jeu de Snowboard déjanté où les tricks les plus fous sont permis mais surtout recommandés.
Jouabilité :
Relativement facile à prendre en main, se faisant avec le joystick gauche pour les déplacement latéraux (les seuls autorisés) et pour les figures, soit avec les boutons Y, B, X et A pour la manette Xbox 360 (la version testée) et les similaires pour sa consoeur PS3 et faire des combinaison du genre : Y puis X pour prendre le haut de la planche avec la main gauche, et les tricks Tricky en utilisant les 2 gachettes RT /LT plus une touche au choix, ou encore avec le joystick droit. Je recommande les boutons, bien plus simple.
Rajoutez à cela la touche RB pour utiliser les équipements du style Wingsuit (vous permettant de planer quelque temps au dessus de crevasse très étendue, à l’origine impossible à traverser en un saut normal, bien qu’aucun saut dans ce jeu ne soit normal), le masque à oxygène pour éclaircir l’écran (celui-ci s’entourant d’une bordure noir se refermant vers le centre au fur et à mesure que l’oxygène manque, pour signifier une perte de conscience) etc…
S’ensuit la touche RT pour le turbo dont la barre se remplit au fur et à mesure de vos tricks et grinds, cette même barre qui passe une fois pleine en mode Tricky, ce qui signifie dans le jeu boost infini durant un laps de temps certain et de nouvelles figures rapportant plus de point.
La touche LT pour une modification des figures.
Pour finir, la touche LB pour le Rewind le plus calamiteux qu’il m’est était donné de voir ! Le rewind dans un jeu doit vous permettre de récupérer une erreur. Et bien pas celui-ci, non ! Lui, il vous fait perdre plus qu’autre chose ! Je vous recommande d’ailleurs de recommencer la course depuis le départ plutôt que de l’utiliser. Un exemple ? Ok : Vous faites un Big Jump et votre perso fait une chute mortelle dans une fosse sans fond, utiliser le rewind vous fera revenir en arrière, normal, et vous fais perdre des points durement acquis. Si on en restait là ça irait, la perte de point étant ainsi dû pour éviter un abus de ce système, mais rajoutez-y en sus le fait que tout vos concurrents continuent la course, puisque n’étant pas infectés par votre retour en arrière, saupoudrez le tout de la lenteur de votre perso à revenir où il faut, et vous obtenez un foutage de gueule monstre, comme sait si bien le faire EA.
Mais dans l’ensemble tout répond correctement.
Graphismes :
Pas transcendants, ils restent plutôt réussis dans l’ensemble. Je déplore un léger manque de couleurs criardes, et s’il est vrai qu’en montagne IRL c’est le cas, dans un jeu qui se veut fun avec un esprit délire et surréaliste, cela aurait plus collé au ton donné par le jeu, mais je chipote.
Durée de vie :
En solo, avec une petite dizaine de massifs différents et environ 5 courses sur chacun d’entre eux, sachant que certaines courses peuvent se finir entre 2.30 minutes et presque 5 minutes pour les plus longues… c’est cour.
Alors bien sûr il y a un mode multi, aussi complet que le solo puisqu’il reprend les mêmes courses, mais pour la rejouabilité du solo c’est niet. Et pas question de refaire les courses pour améliorer ses chronos, puisque le mode « Exploration » vous permet de le faire tout en vous frottant aux temps de vos ami(e)s grâce au « Rider Net », la version SSX de « l’Autolog » apparu dans Need for Speed Hot Pursuit et imposé dans chaque jeux, ou presque, portant le sigle EA et ayant un nom différent propre à chaque licence.
Sinon refaire le solo pour gagner plus d’argent pour obtenir de nouvelles planches, ou de nouvelles couleurs pour les tenues ?! Non le multi suffit !
L’histoire alors ? Pas vraiment, elle glisse au ras des pâquerettes, en même temps il ne faut pas demander du Shakespeare pour ce genre de jeu, mais en faire une intéressante serait la moindre des chose, hors là on se retrouve avec seulement 1 seul perso qui parle, Zoe, les autres se contentant d’une mini BD non traduite dans notre langue si chère à nos cœur, et à première vue trop cher pour l’éditeur, qui se contente d’embaucher les meilleurs riders au monde pour en battre… un seul. Très captivant en effet.
Tu es l'élu, The One, le meilleur au monde, et pour te battre je dois embaucher les meilleurs... alors tu veux faire partie de ma team?!
Son:
Là, là y a du lourd ! Niveau musique c’est l’éclate. Entre de l’electro, du rock, du rap il y en a pour tous les goûts de joueur normalement constitués, pour les autres, fan de Bach, Beethoven ou que sais-je, c’est pas la peine de chercher.
A savoir que la playlist du jeu et personnalisable, donc à vous de choisir quelle musique vous souhaitez avoir pendant le jeu, et vous pouvez choisir si elles seront ordinaires ou remixées pendant vos descentes, puisque celles-ci évolueront si vous chutez ou atteignez le stade Tricky mentionné plus haut.
Vos musiques enregistrées sur le DD peuvent aussi être choisis, mais pas d’illusion, aucune version remix de votre « Danse des canards » ou de « Just because of you » (la B.O. des Bronzés font du ski) ne se fera, et elle ne pourront pas se mélanger aux musiques officielles du jeu !
Le bruitage à proprement parlé se veut réussi, de celui de la poudreuse à l’hélico en passant par la prise des planches ou des grinds sur les barres, c’est du all good.
I.A. :
C’est la question que je me pose ! Y’a (I.A.) une intelligence artificielle ? Non parce que se contenter de faire la course en engrangeant un maximum de point ou d’être le plus rapide sans chercher à nuire le joueur, certes cela évites des coups de rage de la part du joueur, mais le coté fun de la licence prend du plomb dans la Wingsuit.
Difficulté :
Pas très difficile quand on connaît les pistes, c’est une autre paire de manche quand c’est la première descente.
Mais la plus grosse difficulté vient des équipements fournis pour des courses précises. Quand certains sont passifs (les crochets/piton à glace, lumière frontale, armure…) qui ne nécessite aucune manipulation de votre part, d’autre (Wingsuit, masque à oxygène…) s’utilisant via la touche LB de votre manette, peuvent vous nuirent fortement et enlever le plaisir de jouer, ce qui est surtout le cas de la Wingsuit, les autres rajoute surtout une difficulté plutôt bienvenue pour ceux qui recherche ce genre de défis, quand aux joueurs les plus relax qui recherchent le fun avant tout, (j’en fais parti) ça peut éventuellement les frustrer.
Pour en revenir à la Wingsuit, faire des pistes où l’on enchaîne les sauts et l’utilisation de cet équipement sans nous laisser le temps de faire des tricks entre 2, me donne l’impression de jouer à un Ace Combat raté.
Utiliser la Wingsuit au lieu du Rewind aurait été une option bien plus judicieuse, messieurs les développeurs.
Et pour les pistes de glisse, chaque massif (Himalaya, Alpes, Alaska…) offres des descentes différentes dans la façon de les parcourir, comme des pipelines, la Grande muraille de Chine, des cavernes sombres, des arbres couchés en pleine nuit ou encore des rails de chemin de fer, c’est bon à prendre.
Manque par contre la gestion de la position du joueur en plein saut. En effet, dans les anciens SSX, utiliser une figure en mode Tricky augmentait le score de façon considérable, mais pouvait aussi vous en faire perdre tout autant si la figure exécutée était plus longue à se terminer que ne l’était la distance du saut, ou que la position du joueur n’était pas adéquate avec une réception réussi sur la planche. Ici, quelque soit votre trick, lâchez les touches et votre perso se mettra automatiquement dans la position la plus souhaitable pour éviter un crash sur la tête façon autruche dans la neige.
Vive les joueurs manchots quoi, sur la neige c’est le top !
Rajoutez-y une descente vu de face et en hauteur pour les courses contre les avalanches, qui offre une autre façon de jouer, et donc une difficulté en plus. Mais avec une vue classique, ne pas voir la neige nous foncer dessus aurait rajouté plus de stress.
En résumé :
SSX n’est pas le fils prodigue de ces jeux qui misaient tout sur le délire, le fun et le coté arcade, mais l’essentiel est là et il le fait bien. Reste des idées pour le renouveau de cette licence, pour la plupart mal gérées, qui ont le mérite d’exister mais qui laissent un goût amer. A améliorer pour une éventuelle suite donc.
_________________________________________________________
Xced R :
Tu as fait un test très précis Xced R, un peu trop peut-être. A la rigueur, ce ne serait pas un mal si tu agrémentais tes descriptions d'une touche d'humour, d'une métaphore. Il y a quand même une petite griffe personnelle de temps en temps, par contre évite de décrire la config, c'est lourd et ça casse le rythme. Explicite aussi le jargon, car on s'y perd un peu quelquefois.
Enfin, les transitions entre les différentes parties doivent se faire dans le texte même, pas en usant d'un titre "gameplay", "graphismes" etc. Je sais que certains sites encourage cela, mais à la rigueur fait preuve d'imagination dans ce cas comme les testeurs de gamekult.
Ton article me fait un peu penser aux tests de no frag, très pointu, très détaillé. Avec une personnalité plus présente et une construction du test plus osée, ou sinon mieux déguisée derrière son classicisme, cela aurait été encore mieux.
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Il s'agit d'une copie de mon test dans la partie correspondante, mais en retravaillé et avec d'autres images et légendes:
Les FPS tournent en rond. C'est malheureux, mais c'est le cas. En effet, Quand on demande a Jean-Dylan, 11 ans, quel est son jeu de tir a la première personne préféré, il répond "Kall off Douti", pour peu qu'il ai appris ce qu'était un FPS grâce a un "test" de JeuxVidéo.com . Les rares FPS qui sortent du lot sont des jeux surestimés et moyens qui comptent sur leur gameplay, comme Borderlands ou le dernier Wolfenstein. Une seule catégorie de FPS se démarque de la masse : Les FPS d'ambiance. On peut penser notamment a STALKER, qui comptait sur une ambiance "survie" très roleplay, ou encore a Bioshock, dont le gameplay était malheureusement foiré. Mais quand on me dit FPS d'ambiance, je pense a un autre jeu, bien moins connu, mais presque aussi bon, développé justement par des exs du studio qui créa jadis STALKER, et édité par THQ. Je vous parle de...
2033. Il y a 20 ans, le monde tel que nous le connaissons a été réduit en cendres par les flammes du feu nucléaire. Pour survivre, 40 000 personnes se terrent dans les antiques stations du Métro Moscovite. Le monde s'organise autour d'un système darwiniste, de stations en stations de métro. Les guerres inter-stations sont omniprésentes et des dangers comme les mutants ou les radiations sont légions. Vous incarnez Artyom, jeune habitant de la station "VDNKh". VDNKh est la cible de mutants étranges, les "sombres", qui agissent directement sur les émotions des humains en les effrayant pour mieux les éliminer, et Hunter, un Ranger du métro et ami de notre père (adoptif), se charge d'éliminer ces horreurs. Mais si il ne revient pas, il nous demande de prévenir Polis de ces monstres. Et évidement, il disparaît. Et c'est parti pour un voyage qui changera a tout jamais l’impression que vous avez en prenant un escalator.
Dès la première minute, on sent qu'il s'agit d'un jeu d'ambiance: Graphismes très détaillés -les images parlent d'elles même, Jeux de lumières magnifiques, Musique douce, dialogues bien écrits, d'autant que le jeu nous permet de choisir la version russe, anglaise ou française. Je vous conseille la version russe, très agréable a l'oreille, car la version anglaise est mal traduite et la version française manque d'intonation. Le jeu se la joue même "survival-horror", avec des visions des sombres effrayantes et des attaques surprises. Pour couronner le tout, le jeu vous offre quelques choix moraux.
Les Novalis, des mutants vraiment méchants.
Notez l'arme bricolée, le "bâtard"
Bref, après un petit tutoriel qui prend la forme d'une balade dans la station et son hôpital (évidemment rempli de victimes des sombres, ambiance quand tu nous tiens...) et d'un petit combat face aux novalis, des mutants particulièrement féroces qu'on affrontera tout le jeu, on est lâché dans notre station. Et c'est la que l'on comprend, hélas, le gros point noir du titre: Le jeu est presque aussi linéaire qu'un Call Of Duty. En gros, les niveaux se composent d'un long couloir ou 2 chemins sont possibles, gauche ou droite, puis d'un couloir, puis gauche ou droite. De temps en temps, une approche furtive est possible, mais très limitée et particulièrement difficile. Cette linéarité se ressent même encore plus dans les niveaux en extérieur, qui ne sont qu'un long couloir avec des cachettes. On a toujours l'impression de suivre un long chemin tracé pour nous, ce qui est "justifié" quand on sait qu'on est dans un métro, mais on attendait un monde bien plus ouvert de la part d'exs développeurs de Stalker, et surtout plus d'interactivité avec l'environnement, malgré la possibilité de jouer avec "Physix by Pigeonvidia", on reste toujours "prisonnier" de l'environnement. Frustrant, même si ces fameuses cachettes sont très nombreuses, et nécessaires même, j'y reviendrais.
Artyom doit régulièrement recharger sa lampe frontale et
ses lunettes thermiques grâce a ce chargeur. Bon dieu ce qu'il fait noir.
Mais Metro 2033 est avant tout un jeu d'ambiance. Et quelle ambiance! Le jeu est en effet inspiré du livre éponyme, qui est un Best-Steller en Russie. Et si le scénario parait être un pale copier-coller de Stalker et de Fallout, ce qui est du a l'univers nucléaire post-apocalyptique, il est en fait assez intéressant, même si la quête d'Artyom est très classique. Cette ambiance, on la voit et on la ressent partout, des environnements terriblement beaux et réalistes, on passe des stations délabrées aux extérieurs qui déprimeraient un obèse dépucelé par une actrice de charme. Car oui, ce jeu est déprimant, car réaliste. Cette ambiance se voit aussi dans la survie: en effet, 20% du jeu consiste a fouiller des cadavres et des caisses pour y chercher de quoi survivre: Munitions militaires, qui font office de monnaie ou de balles d'excellentes qualité pour les mitraillettes; Balles crasseuses, Médikits qui régénèrent immédiatement votre santé, Armes rares, comme une arbalète a répétition a gaz ou un pistolet avec crosse, lunette et silencieux, Masques a gaz et filtres... Et oui, vu que la guerre nucléaire c'est pas cool, porter un masque a gaz est parfois indispensable pour survivre aux radiations, comme a l’extérieur. Dans les ténèbres, il faut recharger sa lampe ou ses lunettes thermiques avec son chargeur a dynamo. Les armes pneumatiques doivent être pompées manuellement. Si votre masque a gaz est fissuré, il faut le remplacer. Les adversaires portant un masque en métal ne peuvent être tués en headshot, tirez sur le casque pour le fissurer. En cas d'utilisation de dynamite, le plafond peut s’effondrer sur Artyom. Et tant d'autres choses, de détails qui vous mettent dans l'ambiance...
C'est le moment d'évoquer les combats. Il y a deux types d'ennemis : Les mutants, d'abord : Certains se contentent de vous attaquer en vous foncant dessus, d'autres vous sonnent avant de vous attaquer, et certains adversaires semblables a des chiens se déplacent très rapidement, sont nombreux, mais font peu de dégâts. Ces combats sont assez basiques et peu intéressants, car les fusils a pompes sont létaux face aux mutants. Mais les mutants ne sont rien face a nos alter égos humains : Qu'il s'agisse de bandits, de communistes ou de fascistes, ils sont plutôt intelligents, n'hésitent pas a se mettre a couvert et a lancer de la dynamite. De plus, vous pourrez fouiller leurs corps, la plupart du temps incroyablement pleins de munitions. C'est d'ailleurs un peu exagéré, un seul cadavre contient facilement plusieurs chargeurs pour chaque arme au mieux, un barillet entier de revolver au pire. Mais ces munitions en rab sont très importantes : Je parlais tout a l'heure de balles spéciales pour les mitraillettes, et ces dernières peuvent être échangées pour acheter du matériel dans les stations qu'on est amené a visiter. On y trouve de tout : Des armes surpuissantes, des stands ou échanger des munitions "crasseuses" (comprendre par la les munitions normales des mitraillettes) et des balles pour les autres armes contre des bonnes cartouches, des filtres de masque a gaz, des silencieux, et même une armure lourde dans certaines stations. Il est également possible d'utiliser les bonnes munitions pour usage personnel, car elles provoquent des dégâts considérables mais on ne le fera que peu, préférant s'acheter un matériel exceptionnel.
Même Crysis ne peut rivaliser avec
de tels jeux de lumière.
Et après 10 heures de jeu, la quête d'Artyom touche a sa fin... Wait...WHAT? 10 heures de jeu? sans multi?
Certes, cela peut paraître beaucoup pour un FPS linéaire. Mais il ne faut pas oublier qu'a sa sortie, le jeu coûtait 70 boules! Meme Call of Duty enc*ule moins sa maman! Certes, une autre fin est disponible en effectuant certaines actions, visitant certains endroits cachés et en faisant le bon choix a quelques dilemmes moraux, mais voulez-vous vraiment vous taper le même jeu alors que seul la fin change? C'est une blague? Comment des développeurs ont pu faire une chose pareille? 70 boules? Et vous voulez une blague? le jeu a eu un DLC! Pour 10 euros, quelques armes et de nouvelles capacités! On reconnait bien la bite sur notre front de l’éditeur, THQ! D'autres détails sont fâcheux : sans spoiler, un des types d'ennemis exige de rester immobile et de le regarder dans les yeux, pour qu'il ne vous attaque pas. Sympa. Sauf que ça marche une fois sur deux, vous obligeant a tuer ces surhommes alors que vous vouliez économiser vos munitions. Autre détail facheux, vos réserves de filtres sont limitées, et si vous respawnez dans une zone radioactive ou aucun filtre a gaz n'est disponible près de vous alors que c'est votre dernier, vous mourrez sans arrêt. Et obligation de redémarrer le niveau.
Je n'ai pas non plus parlé de la dimension "infiltration" du jeu : et pour cause : cette dimension-la est très difficile a mettre en oeuvre : si des armes silencieuses sont disponibles et que les niveaux semblent proposer dans leur level design un passage d'infiltration, il est presque impossible de passer sans se faire repérer. On pestera aussi contre cette fameuse seconde fin, disponible uniquement en effectuant une vingtaine d'actions tout au long du jeu, parfois simples (faire tel choix a ce dilemme moral, écouter le dialogue entre intel et intel...), d'autres fois impossibles (traverser tout se niveau sans tuer personne, aller a cet endroit caché super dangereux...). 2 problèmes se posent : d'abord, on ne sait pas ce qu'il faut faire pour la débloquer : comment savoir qu'on peut donner des balles aux mendiants? Comment savoir qu'il faut parler a tel personnage? Autant vous dire que j'ai du utiliser une solution complète...Deuxième problème : ces objectifs se contredisent: il faut a un moment traverser le niveau entier sans se faire repérer, mais en même temps tuer les gardes qui retiennent tels otages. Et il est IMPOSSIBLE de les tuer discrètement. Que faire alors? Personnellement, j'ai tué la moitié des gardes du niveau, et j'ai quand même eu la fin cachée. Étrange. Il est aussi décevant que le système de "monnaie" soit si peut utilisé, car on entre que Dans quatre stations dans tout le jeu.
Vous pourrez échangez des cartouches spéciales
contre des armes de roxxors.
Néanmoins, cela n’empêche pas Metro 2033 d’être une expérience sympathique, surtout qu'il ne coûte que 10 € sur Steam. Malgré ses défauts, L'ambiance et le gameplay très axé "survie" vont vous hérisser le poil. Un grand FPS qui a fait un bide.
Conclusion: Remedy avait prouvé avec Alan Wake que tout miser sur l'Ambiance avec un grand A pouvait donner un chef d'oeuvre. C'est ici non pas un chef d'oeuvre, mais un très bon jeu gâché par une linéarité innommable et une longueur faiblarde. Alors , on attends sa suite, qui est prévue pour 2013.
Les FPS tournent en rond. C'est malheureux, mais c'est le cas. En effet, Quand on demande a Jean-Dylan, 11 ans, quel est son jeu de tir a la première personne préféré, il répond "Kall off Douti", pour peu qu'il ai appris ce qu'était un FPS grâce a un "test" de JeuxVidéo.com . Les rares FPS qui sortent du lot sont des jeux surestimés et moyens qui comptent sur leur gameplay, comme Borderlands ou le dernier Wolfenstein. Une seule catégorie de FPS se démarque de la masse : Les FPS d'ambiance. On peut penser notamment a STALKER, qui comptait sur une ambiance "survie" très roleplay, ou encore a Bioshock, dont le gameplay était malheureusement foiré. Mais quand on me dit FPS d'ambiance, je pense a un autre jeu, bien moins connu, mais presque aussi bon, développé justement par des exs du studio qui créa jadis STALKER, et édité par THQ. Je vous parle de...
2033. Il y a 20 ans, le monde tel que nous le connaissons a été réduit en cendres par les flammes du feu nucléaire. Pour survivre, 40 000 personnes se terrent dans les antiques stations du Métro Moscovite. Le monde s'organise autour d'un système darwiniste, de stations en stations de métro. Les guerres inter-stations sont omniprésentes et des dangers comme les mutants ou les radiations sont légions. Vous incarnez Artyom, jeune habitant de la station "VDNKh". VDNKh est la cible de mutants étranges, les "sombres", qui agissent directement sur les émotions des humains en les effrayant pour mieux les éliminer, et Hunter, un Ranger du métro et ami de notre père (adoptif), se charge d'éliminer ces horreurs. Mais si il ne revient pas, il nous demande de prévenir Polis de ces monstres. Et évidement, il disparaît. Et c'est parti pour un voyage qui changera a tout jamais l’impression que vous avez en prenant un escalator.
Dès la première minute, on sent qu'il s'agit d'un jeu d'ambiance: Graphismes très détaillés -les images parlent d'elles même, Jeux de lumières magnifiques, Musique douce, dialogues bien écrits, d'autant que le jeu nous permet de choisir la version russe, anglaise ou française. Je vous conseille la version russe, très agréable a l'oreille, car la version anglaise est mal traduite et la version française manque d'intonation. Le jeu se la joue même "survival-horror", avec des visions des sombres effrayantes et des attaques surprises. Pour couronner le tout, le jeu vous offre quelques choix moraux.
Les Novalis, des mutants vraiment méchants.
Notez l'arme bricolée, le "bâtard"
Bref, après un petit tutoriel qui prend la forme d'une balade dans la station et son hôpital (évidemment rempli de victimes des sombres, ambiance quand tu nous tiens...) et d'un petit combat face aux novalis, des mutants particulièrement féroces qu'on affrontera tout le jeu, on est lâché dans notre station. Et c'est la que l'on comprend, hélas, le gros point noir du titre: Le jeu est presque aussi linéaire qu'un Call Of Duty. En gros, les niveaux se composent d'un long couloir ou 2 chemins sont possibles, gauche ou droite, puis d'un couloir, puis gauche ou droite. De temps en temps, une approche furtive est possible, mais très limitée et particulièrement difficile. Cette linéarité se ressent même encore plus dans les niveaux en extérieur, qui ne sont qu'un long couloir avec des cachettes. On a toujours l'impression de suivre un long chemin tracé pour nous, ce qui est "justifié" quand on sait qu'on est dans un métro, mais on attendait un monde bien plus ouvert de la part d'exs développeurs de Stalker, et surtout plus d'interactivité avec l'environnement, malgré la possibilité de jouer avec "Physix by Pigeonvidia", on reste toujours "prisonnier" de l'environnement. Frustrant, même si ces fameuses cachettes sont très nombreuses, et nécessaires même, j'y reviendrais.
Artyom doit régulièrement recharger sa lampe frontale et
ses lunettes thermiques grâce a ce chargeur. Bon dieu ce qu'il fait noir.
Mais Metro 2033 est avant tout un jeu d'ambiance. Et quelle ambiance! Le jeu est en effet inspiré du livre éponyme, qui est un Best-Steller en Russie. Et si le scénario parait être un pale copier-coller de Stalker et de Fallout, ce qui est du a l'univers nucléaire post-apocalyptique, il est en fait assez intéressant, même si la quête d'Artyom est très classique. Cette ambiance, on la voit et on la ressent partout, des environnements terriblement beaux et réalistes, on passe des stations délabrées aux extérieurs qui déprimeraient un obèse dépucelé par une actrice de charme. Car oui, ce jeu est déprimant, car réaliste. Cette ambiance se voit aussi dans la survie: en effet, 20% du jeu consiste a fouiller des cadavres et des caisses pour y chercher de quoi survivre: Munitions militaires, qui font office de monnaie ou de balles d'excellentes qualité pour les mitraillettes; Balles crasseuses, Médikits qui régénèrent immédiatement votre santé, Armes rares, comme une arbalète a répétition a gaz ou un pistolet avec crosse, lunette et silencieux, Masques a gaz et filtres... Et oui, vu que la guerre nucléaire c'est pas cool, porter un masque a gaz est parfois indispensable pour survivre aux radiations, comme a l’extérieur. Dans les ténèbres, il faut recharger sa lampe ou ses lunettes thermiques avec son chargeur a dynamo. Les armes pneumatiques doivent être pompées manuellement. Si votre masque a gaz est fissuré, il faut le remplacer. Les adversaires portant un masque en métal ne peuvent être tués en headshot, tirez sur le casque pour le fissurer. En cas d'utilisation de dynamite, le plafond peut s’effondrer sur Artyom. Et tant d'autres choses, de détails qui vous mettent dans l'ambiance...
C'est le moment d'évoquer les combats. Il y a deux types d'ennemis : Les mutants, d'abord : Certains se contentent de vous attaquer en vous foncant dessus, d'autres vous sonnent avant de vous attaquer, et certains adversaires semblables a des chiens se déplacent très rapidement, sont nombreux, mais font peu de dégâts. Ces combats sont assez basiques et peu intéressants, car les fusils a pompes sont létaux face aux mutants. Mais les mutants ne sont rien face a nos alter égos humains : Qu'il s'agisse de bandits, de communistes ou de fascistes, ils sont plutôt intelligents, n'hésitent pas a se mettre a couvert et a lancer de la dynamite. De plus, vous pourrez fouiller leurs corps, la plupart du temps incroyablement pleins de munitions. C'est d'ailleurs un peu exagéré, un seul cadavre contient facilement plusieurs chargeurs pour chaque arme au mieux, un barillet entier de revolver au pire. Mais ces munitions en rab sont très importantes : Je parlais tout a l'heure de balles spéciales pour les mitraillettes, et ces dernières peuvent être échangées pour acheter du matériel dans les stations qu'on est amené a visiter. On y trouve de tout : Des armes surpuissantes, des stands ou échanger des munitions "crasseuses" (comprendre par la les munitions normales des mitraillettes) et des balles pour les autres armes contre des bonnes cartouches, des filtres de masque a gaz, des silencieux, et même une armure lourde dans certaines stations. Il est également possible d'utiliser les bonnes munitions pour usage personnel, car elles provoquent des dégâts considérables mais on ne le fera que peu, préférant s'acheter un matériel exceptionnel.
Même Crysis ne peut rivaliser avec
de tels jeux de lumière.
Et après 10 heures de jeu, la quête d'Artyom touche a sa fin... Wait...WHAT? 10 heures de jeu? sans multi?
Certes, cela peut paraître beaucoup pour un FPS linéaire. Mais il ne faut pas oublier qu'a sa sortie, le jeu coûtait 70 boules! Meme Call of Duty enc*ule moins sa maman! Certes, une autre fin est disponible en effectuant certaines actions, visitant certains endroits cachés et en faisant le bon choix a quelques dilemmes moraux, mais voulez-vous vraiment vous taper le même jeu alors que seul la fin change? C'est une blague? Comment des développeurs ont pu faire une chose pareille? 70 boules? Et vous voulez une blague? le jeu a eu un DLC! Pour 10 euros, quelques armes et de nouvelles capacités! On reconnait bien la bite sur notre front de l’éditeur, THQ! D'autres détails sont fâcheux : sans spoiler, un des types d'ennemis exige de rester immobile et de le regarder dans les yeux, pour qu'il ne vous attaque pas. Sympa. Sauf que ça marche une fois sur deux, vous obligeant a tuer ces surhommes alors que vous vouliez économiser vos munitions. Autre détail facheux, vos réserves de filtres sont limitées, et si vous respawnez dans une zone radioactive ou aucun filtre a gaz n'est disponible près de vous alors que c'est votre dernier, vous mourrez sans arrêt. Et obligation de redémarrer le niveau.
Je n'ai pas non plus parlé de la dimension "infiltration" du jeu : et pour cause : cette dimension-la est très difficile a mettre en oeuvre : si des armes silencieuses sont disponibles et que les niveaux semblent proposer dans leur level design un passage d'infiltration, il est presque impossible de passer sans se faire repérer. On pestera aussi contre cette fameuse seconde fin, disponible uniquement en effectuant une vingtaine d'actions tout au long du jeu, parfois simples (faire tel choix a ce dilemme moral, écouter le dialogue entre intel et intel...), d'autres fois impossibles (traverser tout se niveau sans tuer personne, aller a cet endroit caché super dangereux...). 2 problèmes se posent : d'abord, on ne sait pas ce qu'il faut faire pour la débloquer : comment savoir qu'on peut donner des balles aux mendiants? Comment savoir qu'il faut parler a tel personnage? Autant vous dire que j'ai du utiliser une solution complète...Deuxième problème : ces objectifs se contredisent: il faut a un moment traverser le niveau entier sans se faire repérer, mais en même temps tuer les gardes qui retiennent tels otages. Et il est IMPOSSIBLE de les tuer discrètement. Que faire alors? Personnellement, j'ai tué la moitié des gardes du niveau, et j'ai quand même eu la fin cachée. Étrange. Il est aussi décevant que le système de "monnaie" soit si peut utilisé, car on entre que Dans quatre stations dans tout le jeu.
Vous pourrez échangez des cartouches spéciales
contre des armes de roxxors.
Néanmoins, cela n’empêche pas Metro 2033 d’être une expérience sympathique, surtout qu'il ne coûte que 10 € sur Steam. Malgré ses défauts, L'ambiance et le gameplay très axé "survie" vont vous hérisser le poil. Un grand FPS qui a fait un bide.
Conclusion: Remedy avait prouvé avec Alan Wake que tout miser sur l'Ambiance avec un grand A pouvait donner un chef d'oeuvre. C'est ici non pas un chef d'oeuvre, mais un très bon jeu gâché par une linéarité innommable et une longueur faiblarde. Alors , on attends sa suite, qui est prévue pour 2013.
Dernière édition par Godfather le Sam 26 Mai - 9:43, édité 11 fois
Godfather- Rédacteur
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Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Du boudin en veux-tu en voilà!
C'est avec beaucoup d'émotion que j'aborde enfin mon tout premier test et pas avec n'importe quel jeu, hogs of war! Quoi? ça ne vous dit rien c'est un des nombreux titres développés et édité par Infogrames et pas l'un des moindres, sorti sur PSX et PC en l'an 2000 peu connu certes, mais qui a bercé mon enfance, gardé mon objectivité sera une tâche aisée.
Qu'est-ce que c'est que ce jeu?
Tout simplement un jeu de stratégie au tour par tour semblable à Worms bien que celui-ci soit démarqué par son humour et son gameplay original dans l'univers loufoque des porcs caricaturant la période de la première guerre mondiale.
Ou un fameux archipel regorge de truffe, truffe qui est synonyme d'or et de pouvoir sur le monde. C'est alors que la guerre est déclarée, à travers des cliché grossier des pays de ce monde dont nous retrouverons sur le champ de bataille les Porc Force (EN), les GI Porc (USA), les Banzaï Porc (Chine), les Porcs Francs (FR) et bien d'autres qui combattront jusqu'à échine pour contrôler la poritanie, sélectionné votre faction et envoyer le pâté.
Le game play se compose donc d'un tour par tour d'une minute ou votre jambon sur patte déploie toute sa panoplie d'arme et autres gadget pour remporter ça truffe sur des maps divers et variés, tout ce passe à la troisième personne, chaque membre de l'escouade peut être affecté à un type de classe où ils ont un accès immédiat à certaines armes et capacités, il existe quatre types principaux de classe :
l'infirmier : équipé d'un fusil 3 coups, d'une grenade et 3x un kit de soin
L'artilleur : dispose d'un bazooka, 3x mortier et un pistolet
L'espion : sa position n'est pas indiquée sur la mini-carte, possède un fusil sniper et un kit de camouflage
L'ingénieur : détiens des grenades, mines et TNT.
Il est possible d'augmenter les capacités de leurs équipements au fur et à mesure du jeu en leur attribuant des médailles, après l'obtention de plusieurs notre soldat atteint le rang d'Heros qui quant à lui à la possibilité d'appeler une aide aérienne.
Il dispose aussi de bucker, tourelle et artillerie lourde placé sur certain endroit de la map ainsi que de jet pack pour ce déplacer plus rapidement.
Paré pour la bataille?
Grâce à cet arsenal vous devrez donc anéantir vos ennemies dans 25 missions divisées en 5 régions, avec une difficulté crescendo avec une durée de vie de 5 à 10h, mais celles-ci sont beaucoup trop répétitifs ce qui est LE gros défaut du jeu ... Gardant tout de même des graphismes qui exploitent très bien les compétences de la PSX, d'une maniabilité très propre et soignée pour son époque, Musicalement ce n'est pas extraordinaire mais, reste toujours dans le registre de la petite guerre-guerre joyeuse, accompagné également des commentaires comiques et stéréotypés de soldat des différents pays a chaque entré et fin de tour du porceau, dont notre voix off est couplé par l'excellent Yves Lecoq et de ça fine équipe des guignols, claquant alors ces répliques stupides mais, tellement culte.
C'est avec beaucoup d'émotion que j'aborde enfin mon tout premier test et pas avec n'importe quel jeu, hogs of war! Quoi? ça ne vous dit rien c'est un des nombreux titres développés et édité par Infogrames et pas l'un des moindres, sorti sur PSX et PC en l'an 2000 peu connu certes, mais qui a bercé mon enfance, gardé mon objectivité sera une tâche aisée.
Qu'est-ce que c'est que ce jeu?
Tout simplement un jeu de stratégie au tour par tour semblable à Worms bien que celui-ci soit démarqué par son humour et son gameplay original dans l'univers loufoque des porcs caricaturant la période de la première guerre mondiale.
Ou un fameux archipel regorge de truffe, truffe qui est synonyme d'or et de pouvoir sur le monde. C'est alors que la guerre est déclarée, à travers des cliché grossier des pays de ce monde dont nous retrouverons sur le champ de bataille les Porc Force (EN), les GI Porc (USA), les Banzaï Porc (Chine), les Porcs Francs (FR) et bien d'autres qui combattront jusqu'à échine pour contrôler la poritanie, sélectionné votre faction et envoyer le pâté.
Le game play se compose donc d'un tour par tour d'une minute ou votre jambon sur patte déploie toute sa panoplie d'arme et autres gadget pour remporter ça truffe sur des maps divers et variés, tout ce passe à la troisième personne, chaque membre de l'escouade peut être affecté à un type de classe où ils ont un accès immédiat à certaines armes et capacités, il existe quatre types principaux de classe :
l'infirmier : équipé d'un fusil 3 coups, d'une grenade et 3x un kit de soin
L'artilleur : dispose d'un bazooka, 3x mortier et un pistolet
L'espion : sa position n'est pas indiquée sur la mini-carte, possède un fusil sniper et un kit de camouflage
L'ingénieur : détiens des grenades, mines et TNT.
Il est possible d'augmenter les capacités de leurs équipements au fur et à mesure du jeu en leur attribuant des médailles, après l'obtention de plusieurs notre soldat atteint le rang d'Heros qui quant à lui à la possibilité d'appeler une aide aérienne.
Il dispose aussi de bucker, tourelle et artillerie lourde placé sur certain endroit de la map ainsi que de jet pack pour ce déplacer plus rapidement.
Paré pour la bataille?
Grâce à cet arsenal vous devrez donc anéantir vos ennemies dans 25 missions divisées en 5 régions, avec une difficulté crescendo avec une durée de vie de 5 à 10h, mais celles-ci sont beaucoup trop répétitifs ce qui est LE gros défaut du jeu ... Gardant tout de même des graphismes qui exploitent très bien les compétences de la PSX, d'une maniabilité très propre et soignée pour son époque, Musicalement ce n'est pas extraordinaire mais, reste toujours dans le registre de la petite guerre-guerre joyeuse, accompagné également des commentaires comiques et stéréotypés de soldat des différents pays a chaque entré et fin de tour du porceau, dont notre voix off est couplé par l'excellent Yves Lecoq et de ça fine équipe des guignols, claquant alors ces répliques stupides mais, tellement culte.
Tout ça pour des truffes?
Oui mais pas seulement la véritable force du jeu réside dans son mode multijoueur, vous disposerez de nombreuses options de jeu comme la modification de temps des tours, le nombre de "troufions" mis à vos dispositions ainsi que leur point vie, la présence de véhicules, la mort subite, les maps diversifiées offriront des heures de plaisir aux affamés de chair à saucisse, de 2 à 4 joueurs avec une seule manette, les choix des classes seront primordiales pour une bonne stratégie, aucun de vos mouvements ne devra être fait au hasard si vous ne voulez pas devenir de la rillette.
Référence a l'affiche "Born To kill" dans full métal jacket.
En définitive hogs of wars et une grosse caricature de guerre malgré ses 12 ans d'âge reste un bon cru pour les soirs de fête, le gameplay et l'animation sont tout à faits respectable malheureusement la partie campagne n'est pas suffisamment exploitée, lassant et simpliste. Il Garde tout de même un charme par son humour bien que tout le monde n'apprécient pas certaines répliques qui sont parfois lourdes et haïront à tout jamais la voix des guignols, pour ma part ce jeu a comblé de nombreuses soirées et des heures de fous rires. Essayez-le !
Rompez les rangs bleu-bite !
Référence a l'affiche "Born To kill" dans full métal jacket.
En définitive hogs of wars et une grosse caricature de guerre malgré ses 12 ans d'âge reste un bon cru pour les soirs de fête, le gameplay et l'animation sont tout à faits respectable malheureusement la partie campagne n'est pas suffisamment exploitée, lassant et simpliste. Il Garde tout de même un charme par son humour bien que tout le monde n'apprécient pas certaines répliques qui sont parfois lourdes et haïront à tout jamais la voix des guignols, pour ma part ce jeu a comblé de nombreuses soirées et des heures de fous rires. Essayez-le !
Rompez les rangs bleu-bite !
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Mister T :
Un test qui résume bien l'ambiance et les spécificité du jeu, mais tout comme Xced R, il manque ce petit quelque chose qui donne envie de dévorer les lignes et de savourer la lecture : de la personnalité.
Il faut se montrer critique, mais promouvoir sa griffe personnelle accroche le regard du lecteur, pour lier ainsi l'utile à l'agréable. Comme tous les articles des sites généralistes sont des papelards froids et cliniques, il faut offrir un peu de chaleur et de variété au lectorat.
Enfin, la taille de ton test peu sembler petite mais il n'en est rien, tu expliques bien chaque partie du jeu, tu ne négliges rien, sans pour autant t'éterniser. Un bon point !
Dernière édition par Mister T le Mar 22 Mai - 16:32, édité 1 fois
Mister T- Dépucelé
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Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Tribes Ascend est un FPS multijoueur F2P futuriste édité et développé par Hi-Rez Studios. Voyons ensemble ce que le jeu vaut vraiment.
Déjà, le jeu est vraiment beau, en tout cas pour un F2P. C'est pas moche du tout graphiquement et les animations sont fluides et bien réalisés. C'est déjà un bon point.
Plusieurs classes de personnages sont a disposition, tout d'abord de base, puis a débloquer avec l'xp gagnée lors des parties.
Chaque classe dispose d'une capacité spéciale (invisibilité, renforcement de la vie, de l'armure etc...) qui pompe l'énergie.
Energie qui sert aussi a alimenter le Jetpack.
Oui, car chaque personnage dispose d'un Jetpack et d'une paire de ski qui augmentera considérablement votre vitesse si vous glissez avec sur une pente.
L’énergie, ainsi que l'armure, l'arme, le Jetpack et autres pourront être augmentés sur chaque personnage.
Augmenter l'armure, par exemple, augmentera votre santé, améliorera votre temps de régénération, etc...
Chaque partie de l'équipement pourra être augmenté en 5 étapes, chacune coutant une certaine somme d'xp. Ce qui se révèle assez long vu que l'xp gagnée lors des parties n'est pas faramineuse, attendez-vous donc a mettre pas mal de temps avant que votre perso n'atteignent le très convoité "100% des améliorations".
Le gameplay se révèle très rapide, sans aucun temps morts. Le but n'étant pas de faire le plus gros score en nombre de frags, mais en terme de point. Ces points se gagnent de différentes manières, plus ou moins efficace. Faire un kill, une assistance, mais aussi réparer les tourelles disposés dans chaque camp, etc... vous fera gagner du score.
Ce score qui pourra être dépenser pour augmenter les tourelles, ou encore envoyer un bombardement sur la zone choisi.
Les armes ne sont pas comme dans la plupart des FPS, car les balles ou les disques mettent un certain temps a arriver sur l'ennemi, il faudra donc réfléchir et anticiper les mouvements de son adversaire pour l'emporter lors d'un duel.
Il est assez facile a prendre en main, mais pour être vraiment bon et efficace il vous faudra de longues heures de jeu avant de maîtriser complètement les deux techniques, et leur gestion. C'est donc un jeu qui demande du skill.
Plusieurs modes de jeu sont a disposition :
-Capture The Flag, ou le but est de capturer le drapeau ennemi et de le ramener dans sa base. Le mode a cependant une petite sublité : un Générateur est disposé dans chaque base, et si les ennemis parviennent a détruire le votre, vous serez dans l'incapacité d'acheter des véhicules et de vous rechargez au bornes de munitions. Il faudra donc le réparer au plus vite.
-Capture and Hold, ou le but sera de capturer différents points sur la carte afin d'acquérir des points et la victoire.
-Deathmatch, ou chaque équipe possède 80 vies. Le but sera donc d'éliminer 80 fois les adversaires. Le mode a également une subtilité : le premier mort fera spawn un drapeau, et si votre équipe l'a en sa possession, les frags conteront double.
-Arena, ou 5 joueurs de chaque côté s'affronte dans des maps aérienne ou la moindre erreur est fatale.
Le jeu compte environ une dizaine de maps, dans des environnements différents. Malgré tout, le schéma de la map est toujours le même et est un peu lassant a la longue.
Conclusion :
Tribes Ascend est un FPS comme on n'en fait plus. Rapide, nerveux, jouissif, il satisfera tout les fans de FPS rétro ou tout ceux qui cherche un FPS ultra rapide et nerveux.
De plus, il est possible de finir l'intégralité du jeu sans débourser un seul centime, ce qui est aussi un très bon point.
Afin d'être plus clair, je vais noter les différents points qui compose le jeu :
Graphismes (17/20) :
Le jeu est très beau, les animations sont fluides, c'est coloré et fluide.
Malgré tout, certaines textures sont parfois imprécises et bave un peu a certains endroits, mais dans le "feu de l'action" on ne le remarque pas, ce qui n'est pas gênant.
Durée de vie (15/20) :
Si vous comptez tout débloquer pour toutes les classes sans débourser un centime, le jeu vous tiendra occupé un bon moment. La diversité des maps est un peu un défaut car on se lasse de voir toujours les mêmes personnages.
Gameplay (19/20) :
Le gameplay est nerveux, vif, sans temps d'arrêt et purement jouissif, un pure délice !
Cependant, certaines armes proposés dans l'Item Shop sont vraiment trop puissante et leur présence constante est vraiment fatigante a la fin car quasi-impossible a contrer.
________________________________________________________
Liim :
Je te ferais pour commencer le même compliment qu'à Mister T : bref mais bien résumé. Tu as choisi de faire un petit récapitulatif à la jv.com, perso j'aime pas, mais cela n'engage que moi. par contre, il vaudrait mieux les intégrer dans l'article.
Il y a pas mal de répétitions au niveaux des termes employés, un peu plus de vocabulaire serait approprié. Enfin, un peu trop d’approximations sur le gameplay, il mérite d'être mieux explicité. Le test manque en fait d'une construction plus élaboré, on sent que tu n'as pas voulu trop t'impliquer, l'absence d'illustrations par exemple en est la preuve.
Déjà, le jeu est vraiment beau, en tout cas pour un F2P. C'est pas moche du tout graphiquement et les animations sont fluides et bien réalisés. C'est déjà un bon point.
Plusieurs classes de personnages sont a disposition, tout d'abord de base, puis a débloquer avec l'xp gagnée lors des parties.
Chaque classe dispose d'une capacité spéciale (invisibilité, renforcement de la vie, de l'armure etc...) qui pompe l'énergie.
Energie qui sert aussi a alimenter le Jetpack.
Oui, car chaque personnage dispose d'un Jetpack et d'une paire de ski qui augmentera considérablement votre vitesse si vous glissez avec sur une pente.
L’énergie, ainsi que l'armure, l'arme, le Jetpack et autres pourront être augmentés sur chaque personnage.
Augmenter l'armure, par exemple, augmentera votre santé, améliorera votre temps de régénération, etc...
Chaque partie de l'équipement pourra être augmenté en 5 étapes, chacune coutant une certaine somme d'xp. Ce qui se révèle assez long vu que l'xp gagnée lors des parties n'est pas faramineuse, attendez-vous donc a mettre pas mal de temps avant que votre perso n'atteignent le très convoité "100% des améliorations".
Le gameplay se révèle très rapide, sans aucun temps morts. Le but n'étant pas de faire le plus gros score en nombre de frags, mais en terme de point. Ces points se gagnent de différentes manières, plus ou moins efficace. Faire un kill, une assistance, mais aussi réparer les tourelles disposés dans chaque camp, etc... vous fera gagner du score.
Ce score qui pourra être dépenser pour augmenter les tourelles, ou encore envoyer un bombardement sur la zone choisi.
Les armes ne sont pas comme dans la plupart des FPS, car les balles ou les disques mettent un certain temps a arriver sur l'ennemi, il faudra donc réfléchir et anticiper les mouvements de son adversaire pour l'emporter lors d'un duel.
Il est assez facile a prendre en main, mais pour être vraiment bon et efficace il vous faudra de longues heures de jeu avant de maîtriser complètement les deux techniques, et leur gestion. C'est donc un jeu qui demande du skill.
Plusieurs modes de jeu sont a disposition :
-Capture The Flag, ou le but est de capturer le drapeau ennemi et de le ramener dans sa base. Le mode a cependant une petite sublité : un Générateur est disposé dans chaque base, et si les ennemis parviennent a détruire le votre, vous serez dans l'incapacité d'acheter des véhicules et de vous rechargez au bornes de munitions. Il faudra donc le réparer au plus vite.
-Capture and Hold, ou le but sera de capturer différents points sur la carte afin d'acquérir des points et la victoire.
-Deathmatch, ou chaque équipe possède 80 vies. Le but sera donc d'éliminer 80 fois les adversaires. Le mode a également une subtilité : le premier mort fera spawn un drapeau, et si votre équipe l'a en sa possession, les frags conteront double.
-Arena, ou 5 joueurs de chaque côté s'affronte dans des maps aérienne ou la moindre erreur est fatale.
Le jeu compte environ une dizaine de maps, dans des environnements différents. Malgré tout, le schéma de la map est toujours le même et est un peu lassant a la longue.
Conclusion :
Tribes Ascend est un FPS comme on n'en fait plus. Rapide, nerveux, jouissif, il satisfera tout les fans de FPS rétro ou tout ceux qui cherche un FPS ultra rapide et nerveux.
De plus, il est possible de finir l'intégralité du jeu sans débourser un seul centime, ce qui est aussi un très bon point.
Afin d'être plus clair, je vais noter les différents points qui compose le jeu :
Graphismes (17/20) :
Le jeu est très beau, les animations sont fluides, c'est coloré et fluide.
Malgré tout, certaines textures sont parfois imprécises et bave un peu a certains endroits, mais dans le "feu de l'action" on ne le remarque pas, ce qui n'est pas gênant.
Durée de vie (15/20) :
Si vous comptez tout débloquer pour toutes les classes sans débourser un centime, le jeu vous tiendra occupé un bon moment. La diversité des maps est un peu un défaut car on se lasse de voir toujours les mêmes personnages.
Gameplay (19/20) :
Le gameplay est nerveux, vif, sans temps d'arrêt et purement jouissif, un pure délice !
Cependant, certaines armes proposés dans l'Item Shop sont vraiment trop puissante et leur présence constante est vraiment fatigante a la fin car quasi-impossible a contrer.
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Liim :
Je te ferais pour commencer le même compliment qu'à Mister T : bref mais bien résumé. Tu as choisi de faire un petit récapitulatif à la jv.com, perso j'aime pas, mais cela n'engage que moi. par contre, il vaudrait mieux les intégrer dans l'article.
Il y a pas mal de répétitions au niveaux des termes employés, un peu plus de vocabulaire serait approprié. Enfin, un peu trop d’approximations sur le gameplay, il mérite d'être mieux explicité. Le test manque en fait d'une construction plus élaboré, on sent que tu n'as pas voulu trop t'impliquer, l'absence d'illustrations par exemple en est la preuve.
Liim- Casual gamer
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Localisation : Ponyland
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Heavy Rain est un jeu développé par Quantic Dream (Paris) et édité par Sony sur PS3.
On pourrait classer Heavy Rain dans les inclassables du jeu vidéo.
Pourquoi ? Ce jeu n'est ni un jeu de plateforme ni un beat hem all ni un FPS ni un TPS ni un jeu de sport, de course ou de combat. On pourrait dire que c'est un jeu d'aventure, mais je préfère dire que c'est un film interactif.
Ce jeu est un "tout QTE" vous vous déplacez vers des objet ou des personnes et vous pouvez interagir avec !
Les possibilités sont donc très grandes le scénario proposant une vingtaine de fins différentes vous pourrez changez votre façon de faire a chaque fois que vous rejouer pour voir comment l'histoire va se dérouler (par exemple en tuant ou pas un personnage).
On peut choisir la difficulté du jeu qui n'influe que dans les phases d'actions où vous devez faire des QTE's plus compliqués et plus rapides.
Par contre on peut regretter que les déplacements soient fastidieux a cause du changement de caméra et a cause de la rigidité des mouvements.
Le scénario est très digne d'un grand polar ! Une affaire de meurtre en série sur des enfants où vous incarnez quatre personnages différents : Le père d'un enfant qui vient de se faire enlever, un agent du FBI, une journaliste et un détective privé.
Bien sur vous ne ferez pas toujours la même chose avec chaque personnage par exemple avec l'agent du FBI vous devrez trouver des indices et avec le père vous devrez relever des épreuves...
Je n'en dis pas plus. Les graphismes sont beau et il y a beaucoup de références cinématographiques qui sont très sympas. Et l'auteur a été très inspiré pour l'histoire.
Quand à la bande son elle est de bonne qualité on a l'impression de regarder un film avec l'ambiance que la bande son donne.
En conclusion, on peut dire que c'est un jeu qui ne plaira pas a tout le monde. Mais si vous accrochez au scénario vous aurez de longues heures de jeu !
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Hathemall :
Pour cette fois c'est court aussi, mais il manque beaucoup de précisions. De plus, Heavy rain est basé sur l'ambiance et le scénario, il faut bien appuyer ce point.
Ceci dit, je vois bien que tu n'avais pas l'air trop motivé Hathemall donc je ne vais pas m'acharner sur toi.
Hathemall- Dépucelé
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Date d'inscription : 09/05/2012
Age : 32
Test L.A Noire
L.A Noire. Un nom qui rappellera certainement des souvenirs à tous les amateurs de polar tels que moi. En effet, il y a de cela 14 ans, le réalisateur Curtis Hanson mettait en scène Kim Basinger, Russell Crowe et Kevin Spacey dans l'adaptation du roman de James Ellroy, et accessoirement l'un des plus beaux hommages aux films noirs des années 1950. J'ai nommé, L.A Confidential.
Pourtant, c'est plutôt du côté de Brian De Palma que les similitudes apparaissent. Pas que le soft vous fasse jouer un Tony Montana de pixels, non. Mais comment ne pas comparer le somptueux Dahlia Noir, sorti en 2006, et le bien nommé L.A Noire ? "On en sait rien, on n'y a pas encore joué !", me direz-vous d'un ton accusateur. Soit, je m'en vais donc vous en dire plus sur le titre de Team Bondi. Oui car contrairement à ce que beaucoup ont cru comprendre, Rockstar Games n'est pour l'occasion "que" l'éditeur, et non le développeur. Et vous allez voir que c'est autant pour le meilleur... Que pour le pire.
Nous sommes donc en 1947. Vous incarnez Cole Phelps, jeune officier du L.A.P.D (ou Los Angeles Police Department). Vous revenez de la guerre, et les nombreuses cinématiques narrant vos exploits contre les Japonais sont là pour vous le rappeler. L'action se déroule dans une cité des anges plus vraie que nature tandis que d'horribles crimes ont lieu un peu partout dans la ville. Et c'est justement là que vous entrez en scène. Vous débutez en tant que simple officier, mais vous ne tarderez pas à gravir les échelons tout au long de l'aventure. Pour faire simple, le système de hiérarchie est découpé en 4 brigades.
A la Circulation, vous devrez élucider des affaires mettant en scène des accidents de voiture, qui prendront une tournure bien plus profonde dès lors que vous fourrez votre nez dedans. A la Brigade Criminelle, votre coéquipier Rusty Galloway et vous-même tenterez d'élucider des affaires de meurtres, assez gores, il faut bien le préciser. A la Brigade des Mœurs, on vous parlera notamment d'enlèvements ou encore de drogués retrouvés morts. Enfin le jeu se terminera lorsque vous aurez assez enquêté au sein de la dernière brigade, celle des Incendies Criminels. Il est d'ailleurs assez troublant de voir que le gros du jeu, et surtout le plus intéressant, se déroulera pendant que vous êtes affilié à la Brigade Criminelle, c'est à dire en plein milieu du soft. Les autres enquêtes, même les toutes dernières, étant bien plus dispensables, mais néanmoins obligatoires pour avancer dans l'aventure.
Pourtant, c'est plutôt du côté de Brian De Palma que les similitudes apparaissent. Pas que le soft vous fasse jouer un Tony Montana de pixels, non. Mais comment ne pas comparer le somptueux Dahlia Noir, sorti en 2006, et le bien nommé L.A Noire ? "On en sait rien, on n'y a pas encore joué !", me direz-vous d'un ton accusateur. Soit, je m'en vais donc vous en dire plus sur le titre de Team Bondi. Oui car contrairement à ce que beaucoup ont cru comprendre, Rockstar Games n'est pour l'occasion "que" l'éditeur, et non le développeur. Et vous allez voir que c'est autant pour le meilleur... Que pour le pire.
Nous sommes donc en 1947. Vous incarnez Cole Phelps, jeune officier du L.A.P.D (ou Los Angeles Police Department). Vous revenez de la guerre, et les nombreuses cinématiques narrant vos exploits contre les Japonais sont là pour vous le rappeler. L'action se déroule dans une cité des anges plus vraie que nature tandis que d'horribles crimes ont lieu un peu partout dans la ville. Et c'est justement là que vous entrez en scène. Vous débutez en tant que simple officier, mais vous ne tarderez pas à gravir les échelons tout au long de l'aventure. Pour faire simple, le système de hiérarchie est découpé en 4 brigades.
A la Circulation, vous devrez élucider des affaires mettant en scène des accidents de voiture, qui prendront une tournure bien plus profonde dès lors que vous fourrez votre nez dedans. A la Brigade Criminelle, votre coéquipier Rusty Galloway et vous-même tenterez d'élucider des affaires de meurtres, assez gores, il faut bien le préciser. A la Brigade des Mœurs, on vous parlera notamment d'enlèvements ou encore de drogués retrouvés morts. Enfin le jeu se terminera lorsque vous aurez assez enquêté au sein de la dernière brigade, celle des Incendies Criminels. Il est d'ailleurs assez troublant de voir que le gros du jeu, et surtout le plus intéressant, se déroulera pendant que vous êtes affilié à la Brigade Criminelle, c'est à dire en plein milieu du soft. Les autres enquêtes, même les toutes dernières, étant bien plus dispensables, mais néanmoins obligatoires pour avancer dans l'aventure.
« Trouvez-vous deux costumes et faites-les repasser ! »
Concrètement, comment ça se passe ? Et bien votre capitaine vous donne les détails de l'affaire, vous vous rendez sur les lieux du crime via un des nombreux véhicules présents dans la ville et vous analysez les indices trouvés sur place. Suite à quoi, vous interrogez les suspects et vous les inculpez, ou non. Voilà, en gros, le schéma type auquel vous allez être confronté durant tout le jeu, du début à la fin. C'est d'ailleurs l'un des plus gros défauts du titre : il est clairement répétitif, peu importe dans quel sens on le tourne. D'autant que, je vous le rappelle, ce n'est pas un GTA-like. Pas que ce soit un inconvénient en soi, non, mais comprenez par là que vous ne disposez d'aucune liberté que ce soit. Autrement dit, les seuls moments où l'on vous lâche un minimum la grappe, c'est lorsque vous conduisez. Soit, vous pouvez aller où bon vous semble. Seulement voilà, la ville n'est qu'un décor, vous n'aurez absolument rien à y faire. A l'instar d'un Heavy Rain ou encore d'un Mafia 2. Ne comptez donc pas aller sauvegarder en passant par une hypothétique planque, ou encore aller faire quelques missions secondaires avant d'aller manger un morceau. Le jeu ne vous propose « que » ces fameuses enquêtes, et c'est tout. Alors, oui, évidemment, c'est justement le sujet principal. Seulement ce qui renforce ce sentiment de passivité, c'est le fait que, malheureusement, vous êtes assistés dans 90% des actions du jeu.
Et là, force est de constater que le niveau de difficulté est pour le coup vraiment trop bas. Que vous désactiviez ou non les aides, le jeu n'a de cesse de vous aiguiller sur la marche à suivre. A tel point qu'on finit par se demander si le réel but de L.A Noire n'est pas de nous rendre spectateur d'une aventure qui n'a décidément pas besoin de nous pour suivre son cours. Par exemple, lorsque vous conduirez à travers les rues magnifiquement modélisées de Los Angeles, si vous êtes au volant d'une voiture de police, le Central peut faire appel à vous en vous demandant de vous rendre au plus vite sur les lieux d'un conflit. Cambriolage, prise d'otages, tentative de suicide... Nombreuses seront les situations. 40, pour être précis. Vous vous prenez donc à rêver d'une scène d'action où, enfin, la lenteur des recherches d'indices et autres interrogatoires disparaîtra. Loupé. Cole, votre personnage, fait quasiment tout à votre place. De l'escalade d'échelles à la visée automatique, en passant par le rechargement de votre arme, mais aussi le fait de monter dans un véhicule... Vous n'êtes acteur que dans 10% de ce genre d'actions. Notez d'ailleurs que ces scènettes se terminent toujours de la même manière, c'est à dire une cut-scene de 8 secondes montrant soit le légiste, soit Cole prévenant le Central de ce qui vient d'arriver.
Pour en finir avec les défauts du jeu, il est utile de souligner le ratage total dont est victime la technique du soft. Les bugs et les ralentissements sont incessants et il ne sera pas impossible de voir des passants voler dans les airs, des taxis sans portières, ou encore de se rendre compte que le temps et l'espace sont figés, alors que vous-même arrivez à marcher tout à fait normalement au sein d'une ville mise sur pause. Le clipping est également de la partie et ce, à tous les coins de rue. Sans oublier un aliasing assez violent sur les scènes de crimes et autres séquences « filmées » en gros plan.
Malgré cela, il faut avouer que le jeu possède également de grosses qualités. En tête de liste, notez que la bande-son est tout simplement grandiose. Des doublages frôlant la perfection en passant par les musiques d'ambiance nous rappelant Citizen Kane et Carmen San Diego, le rendu sonore fait preuve d'une maîtrise sans faille. Mais face à votre oreille, votre rétine ne sera pas en reste étant donné le génie avec lequel les graphismes ont été conçus. Les jeux d'ombres et de lumières sont splendides, et la pluie est admirablement bien reproduite. Et puis, comment ne pas évoquer le Motion Scan, la nouvelle technologie vidéoludique qui permet de retranscrire à la narine près les expressions faciales des protagonistes. Quel régal de les observer se mordre les lèvres lors des interrogatoires. C'est bien simple, on n'avait encore jamais atteint un tel seuil de réalisme depuis la création des jeux vidéo. Bluffant. Enfin, l'ambiance générale est un must du genre, pour peu que l'on soit fan des années 1940 évidemment.
Et là, force est de constater que le niveau de difficulté est pour le coup vraiment trop bas. Que vous désactiviez ou non les aides, le jeu n'a de cesse de vous aiguiller sur la marche à suivre. A tel point qu'on finit par se demander si le réel but de L.A Noire n'est pas de nous rendre spectateur d'une aventure qui n'a décidément pas besoin de nous pour suivre son cours. Par exemple, lorsque vous conduirez à travers les rues magnifiquement modélisées de Los Angeles, si vous êtes au volant d'une voiture de police, le Central peut faire appel à vous en vous demandant de vous rendre au plus vite sur les lieux d'un conflit. Cambriolage, prise d'otages, tentative de suicide... Nombreuses seront les situations. 40, pour être précis. Vous vous prenez donc à rêver d'une scène d'action où, enfin, la lenteur des recherches d'indices et autres interrogatoires disparaîtra. Loupé. Cole, votre personnage, fait quasiment tout à votre place. De l'escalade d'échelles à la visée automatique, en passant par le rechargement de votre arme, mais aussi le fait de monter dans un véhicule... Vous n'êtes acteur que dans 10% de ce genre d'actions. Notez d'ailleurs que ces scènettes se terminent toujours de la même manière, c'est à dire une cut-scene de 8 secondes montrant soit le légiste, soit Cole prévenant le Central de ce qui vient d'arriver.
Pour en finir avec les défauts du jeu, il est utile de souligner le ratage total dont est victime la technique du soft. Les bugs et les ralentissements sont incessants et il ne sera pas impossible de voir des passants voler dans les airs, des taxis sans portières, ou encore de se rendre compte que le temps et l'espace sont figés, alors que vous-même arrivez à marcher tout à fait normalement au sein d'une ville mise sur pause. Le clipping est également de la partie et ce, à tous les coins de rue. Sans oublier un aliasing assez violent sur les scènes de crimes et autres séquences « filmées » en gros plan.
Malgré cela, il faut avouer que le jeu possède également de grosses qualités. En tête de liste, notez que la bande-son est tout simplement grandiose. Des doublages frôlant la perfection en passant par les musiques d'ambiance nous rappelant Citizen Kane et Carmen San Diego, le rendu sonore fait preuve d'une maîtrise sans faille. Mais face à votre oreille, votre rétine ne sera pas en reste étant donné le génie avec lequel les graphismes ont été conçus. Les jeux d'ombres et de lumières sont splendides, et la pluie est admirablement bien reproduite. Et puis, comment ne pas évoquer le Motion Scan, la nouvelle technologie vidéoludique qui permet de retranscrire à la narine près les expressions faciales des protagonistes. Quel régal de les observer se mordre les lèvres lors des interrogatoires. C'est bien simple, on n'avait encore jamais atteint un tel seuil de réalisme depuis la création des jeux vidéo. Bluffant. Enfin, l'ambiance générale est un must du genre, pour peu que l'on soit fan des années 1940 évidemment.
La jouabilité, quant à elle, ne souffre d'aucun défaut majeur étant donné que, comme vous avez pu le lire plus haut, le personnage est tellement maniable qu'il fait quasiment tout de son propre chef. Difficile dans ce cas de faire des reproches à ce niveau-là. La manière de rechercher les indices et de les analyser est somme toute assez banale, on appuie sur Croix pour ramasser un objet puis on bouge le stick gauche pour le faire pivoter au cas où quelque chose d'intrigant serait annoté dessus. Le déroulement des interrogatoires, lui, est un peu plus chaotique. En effet, vous n'avez guère que trois touches à votre disposition : pressez Croix si vous pensez que le suspect dit vrai, Carré si vous doutez sérieusement de sa réponse mais que les preuves vous manquent, et Triangle pour l'accuser de menteur. En appuyant sur cette touche vous aurez alors obligation de prouver ce que vous avancez via votre carnet (touche Select), sous peine de passer sérieusement pour un bleu. Là où la tâche se montre un poil plus contraignante c'est lorsque vous ne savez quoi répondre. Il peut arriver, en effet, que vous sachiez parfaitement que le suspect ment, pourtant, dès lors que le jeu décide du contraire, vous obtiendrez obligatoirement une mauvaise appréciation. C'est ce genre de petites incohérences qui auront vite fait de vous énerver à maintes reprises, tout au long du soft.
En ce qui concerne la conduite, autant ne pas passer par quatre chemins, il va vous falloir un temps d'adaptation assez conséquent. Rien d'élitiste à la Gran Turismo 5, entendons-nous bien. Mais l'aspect savonnette incontrôlable en surprendra plus d'un. La tenue de route est en quelque sorte un mix entre celle de Mafia 2 et celle du Parrain 2. Pourtant, après quelques heures passées à arpenter le bitume de ce bon vieux L.A, force est de constater que la conduite se montre plutôt jouissive, l'habitude aidant. D'autant que le côté « bagnole capricieuse des années 1940 » est, lui, formidablement bien retranscrit. Il sera d'ailleurs assez fréquent de rester appuyé 4 ou 5 bonnes secondes sur la gâchette L2 avant de voir notre voiture s'immobiliser totalement. Oui messieurs, le moteur est d'origine, et l'on est bien loin des plaquettes de frein ultra sensibles présentes dans Test Drive Unlimited 2. Qui s'en plaindra ?
« Crois-moi, je suis tout sauf un héros de guerre »
Enfin, parlons un peu de la durée de vie, si vous le voulez bien. Le jeu est divisé en 21 enquêtes principales. Ce qui, honnêtement, vous occupera une bonne dizaine d'heures si vous tenez à obtenir tous les indices et ainsi mener à bien vos interrogatoires. A côté de ça, vous aurez deux ou trois autres tâches facultatives à accomplir si vous voulez finir le jeu à 100%. En premier lieu, comme je le précisais un peu plus haut, le soft « propose » 40 petites scènes dites d'action vous permettant de décompresser. Celles-ci sont, dans l'ensemble, très courtes, et beaucoup trop faciles, malheureusement. Cependant elles ont le mérite d'exister.
Mais ce n'est pas tout. En effet il est également possible de partir à la recherche des 95 véhicules utilisables du jeu. Rien que ça. Et autant vous dire que la taille de la map (ainsi que la ressemblance fâcheuse entre chaque voiture) ne vous aidera pas le moins du monde. Il vous sera également possible de fouiner afin de trouver des bobines de films (sorte de paquets cachés, à la manière d'un GTA) ainsi que des journaux et des monuments (les 30 infrastructures les plus emblématiques de Los Angeles, en somme). Enfin, le jeu étant globalement assez mou (plutôt logique pour un jeu dit d'enquêtes), vous pouvez d'ores et déjà prévoir d'y passer une vingtaine d'heures. Plutôt pas mal, comparé à ce qu'on a l'habitude de voir chez les concurrents.
L.A Noire est donc un jeu à part, à n'en pas douter. Que ce soit au niveau de sa mise en scène, de son ambiance, de sa bande-son, ou encore de son déroulement, tout y est léché pour que le joueur puisse prendre son pied sans pour autant avoir mal au crâne. C'est d'ailleurs la seule chose qui laissera véritablement un goût amer après avoir bouclé l'aventure, l'assistance perpétuelle dont est victime le joueur. C'est fort dommage lorsqu'on sait que les développeurs auraient pu penser à faire la part des choses en dotant le jeu de deux niveaux de difficulté. On aurait tant aimé pouvoir tester une version « hardcore » ou même simplement « expert », réservée aux habitués de jeux vidéo. Mais il n'en est rien, et l'on ne peut qu'espérer voir une suite débarquer dans deux ou trois ans, un peu plus ardue cette fois.
Pour l'heure, L.A Noire est ce qu'il est, avec ses indéniables qualités, mais aussi ses malheureux défauts. Pour autant, comment envisager de passer à côté d'un titre aussi atypique, à l'heure où d'autres licences, pour le moins réputées, tournent clairement en rond ? C'est donc un véritable vent de fraîcheur que nous apportent les gars de Team Bondi. Un vent aux senteurs de poudre, issue de fusils BAR que l'on vient d'utiliser. Un vent aux senteurs de gaz d'échappement provenant de cette Buick flambant neuve qui vient de manquer de vous écraser. Un vent aux senteurs de tabac, celui que l'on fume au Blue Room Club, tout en écoutant le jazz de la douce Elsa Lichtmann. Un vent aux senteurs de hit, la marque de fabrique d'un jeu qui ne vous laissera pas indifférent.
Mais ce n'est pas tout. En effet il est également possible de partir à la recherche des 95 véhicules utilisables du jeu. Rien que ça. Et autant vous dire que la taille de la map (ainsi que la ressemblance fâcheuse entre chaque voiture) ne vous aidera pas le moins du monde. Il vous sera également possible de fouiner afin de trouver des bobines de films (sorte de paquets cachés, à la manière d'un GTA) ainsi que des journaux et des monuments (les 30 infrastructures les plus emblématiques de Los Angeles, en somme). Enfin, le jeu étant globalement assez mou (plutôt logique pour un jeu dit d'enquêtes), vous pouvez d'ores et déjà prévoir d'y passer une vingtaine d'heures. Plutôt pas mal, comparé à ce qu'on a l'habitude de voir chez les concurrents.
L.A Noire est donc un jeu à part, à n'en pas douter. Que ce soit au niveau de sa mise en scène, de son ambiance, de sa bande-son, ou encore de son déroulement, tout y est léché pour que le joueur puisse prendre son pied sans pour autant avoir mal au crâne. C'est d'ailleurs la seule chose qui laissera véritablement un goût amer après avoir bouclé l'aventure, l'assistance perpétuelle dont est victime le joueur. C'est fort dommage lorsqu'on sait que les développeurs auraient pu penser à faire la part des choses en dotant le jeu de deux niveaux de difficulté. On aurait tant aimé pouvoir tester une version « hardcore » ou même simplement « expert », réservée aux habitués de jeux vidéo. Mais il n'en est rien, et l'on ne peut qu'espérer voir une suite débarquer dans deux ou trois ans, un peu plus ardue cette fois.
Pour l'heure, L.A Noire est ce qu'il est, avec ses indéniables qualités, mais aussi ses malheureux défauts. Pour autant, comment envisager de passer à côté d'un titre aussi atypique, à l'heure où d'autres licences, pour le moins réputées, tournent clairement en rond ? C'est donc un véritable vent de fraîcheur que nous apportent les gars de Team Bondi. Un vent aux senteurs de poudre, issue de fusils BAR que l'on vient d'utiliser. Un vent aux senteurs de gaz d'échappement provenant de cette Buick flambant neuve qui vient de manquer de vous écraser. Un vent aux senteurs de tabac, celui que l'on fume au Blue Room Club, tout en écoutant le jazz de la douce Elsa Lichtmann. Un vent aux senteurs de hit, la marque de fabrique d'un jeu qui ne vous laissera pas indifférent.
Graphismes
16/20
Des rues de Los Angeles aux visages des acteurs, en passant par les véhicules et les intérieurs, la patte graphique dont est pourvue L.A Noire force le respect.
Technique
11/20
L'un des gros point noirs du soft. Les bugs et les ralentissements sont une vraie plaie. Enfin, l'aliasing est ici en pleine forme et n'aura de cesse de vous titiller, de même que son meilleur ami, le clipping.
Jouabilité
15/20
Rien à redire, si ce n'est, justement, le fait que le jeu nous mâche un peu trop le travail. La conduite et les interrogatoires, eux, demanderont de la patience mais s'avèreront jouissifs avec le temps.
Ambiance sonore
15/20
L'un des atouts indéniables du jeu. Bien que les musiques se fassent malheureusement trop rares, les doublages sont criants de réalisme et réussissent avec brio le pari de rendre le jeu immersif à souhait.
Scénario
13/20
L'affaire, réelle, du Dahlia Noir est superbement reprise dans L.A Noire. Malheureusement, les autres enquêtes, et notamment les dernières, sont loin d'être aussi passionnantes.
Durée de vie
15/20
Nombreuses seront les tâches à accomplir une fois que vous aurez terminé les 21 enquêtes du jeu. De plus, ces dernières vous demanderont déjà une bonne dizaine d'heures à elles seules.
Plaisir de jeu
14/20
Malgré des soucis techniques récurrents, on se surprend à remettre le jeu dans la console aussi souvent que possible. En effet, le soft a ce petit plus qui fait qu'on a du mal à s'en passer... à court terme.
Note Globale
14/20
Compte tenu d'un bon nombre de soucis, L.A Noire ne plaira pas à tout le monde, c'est certain. Son approche simpliste et ses incohérences nous aident à penser qu'il n'a pas été totalement terminé. Cependant, sa mise en scène, son rendu sonore, ainsi que son ambiance générale sont autant de qualités qu'il serait dommage de bouder.
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Mr Toc :
À part le côté un peu trop JeuxVideo.com dans le bon sens du terme, rien à dire.
Mr Toc- Invité
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
MediEvil, un jeu de fer et d'os
La Playstation, cette fabuleuse console avec sa très grande ludothèque, nous a fournit un nombre incroyable de jeux ratés, déjà dépassés à l'époque, mais également quelques perles.« C'est l'histoire d'un mec qui n'avait plus toute sa tête... » MediEvil, sorti en 1998 en France, développé par Sony Studio Cambridge, est l'un des petits bijoux de la PS1, malheureusement trop vite oublié.
Vous incarnez Sir Daniel Fortesque, un vaillant et preux guerrier au service du royaume de Gallowmere. Seulement, et c'est là où ça devient intéressant, vous l'incarnez alors qu'il est mort, suite aux blessures qu'il a reçu dans une bataille contre les forces du Mal dont le chef est le gros pas beau du jeu: le sorcier Zarok. Paradoxalement, c'est lui qui vous ramènera à la "vie", afin d'une fois de plus rire à vos dépends... car oui, si vous croyiez être un héros des champs de batailles qui a accompli des exploits plus extraordinaire les uns que les autres avant votre mort provisoire, je vous arrête tout de suite: tout au long du jeu, on ne cessera de vous rappeler que l'on vous a tué à la première volée de flèches pendant la bataille décisive, pas très glorieux tout cela...
Il est donc à présent de votre devoir de mériter votre renommé acquise sur une erreur de l'Histoire !
L'univers fait grandement penser aux films de Tim Burton et plus particulièrement à l'Étrange Noël de monsieur Jack, et cela n'est pas pour déplaire, car peu nombreux sont les jeux de ce type qui ont réussi à intégrer cette touche d'humour noir qui a fait le succès de MediEvil...
Nous voilà donc partis combattre l’armée levée par Zarok, constituée de zombies, de villageois possédés, d’épouvantails, de cavaliers russes, et j’en passe, car au total ce sont une cinquantaine d'ennemis différents qui vous sont proposés au fil du jeu ! Fortesque, en véritable bras cassé, peut leur taper dessus avec son propre bras qu'il détachera naturellement lorsque l'envie lui prend , il existe cependant certaines armes plus conventionnelles (que vous récupérerez à l'aide de calices récoltés auparavant dans les niveaux) : épées, poignards, massue, arcs, arbalète… Certaines doivent être alimentées avec des munitions (les flèches, les carreaux ou encore les poignards), d’autres ont un pourcentage d’utilisation qui diminue au fur et à mesure de leur emploi : c’est le cas de la massue, ou des différents boucliers proposés. Une fois l’arme utilisée à 100%, il faut en trouver un autre exemplaire. Mais l’arme infaillible, l’arme ultime, reste le pilon de poulet, efficace contre la plupart des ennemis, et qui les transforme en rôti pour restaurer votre énergie !
Ces petites gargouilles disséminées un peu partout dans le jeu vous donneront des renseignements... et ne manqueront pas une occasion de se foutre de vous !
La bande-son du jeu constitue là aussi un point fort de celui-ci: les musiques sont agréables et collent très bien à l'ambiance, on peut ainsi entendre des morceaux d'orgues et des musiques parfois angoissantes, avec encore une fois cette pointe d'humour noir qui se ressent dans certains thèmes.
Les voix sont toutes traduites en français, et chacune est particulière; celle de Fortesque est par exemple étouffée, ce qui est un peu normal quand on a perdu sa mâchoire inférieure me diriez-vous... Mention spéciale aux gargouilles du jeu (qui vous l'aurez sans doute compris, m'ont fortement marqué et amusé) qui empruntent la voix d'un vieillard qui montent dans les aiguës, cela ne peut que faire sourire.
La prise en main est assez facile, vous arriverez sans trop de mal à vous habituer aux touches qui deviennent rapidement instinctives, manier ce cher Dan Fortesque comme bon vous semble est donc largement accessible au commun des mortels.
La progression dans les niveaux est quasiment toujours la même sans que cela soit répétitif pour autant, du fait des spécificités de chacun d'entre-eux (de petites énigmes vous seront proposées, rien de bien complexe cependant), nous devons récupérer des runes pour ouvrir des portes et passer à la section suivante du niveau, le jeu entier se découpe ainsi hormis quelques niveaux qui présentent un semblant de choix de destination, le scénario ne sera pas altéré mais il peut y avoir plusieurs manières de se rendre à un endroit...
Alors oui, c'est vieux, c'est moche, l'aliasing ainsi que le clipping sont bien évidemment au rendez-vous, mais pour l'époque c'est tout à fait acceptable. Les décors sont très corrects et on a une bonne impression de profondeur dans certains niveaux, ce qui n'est pas négligeable pour l'époque. On distingue aussi à quoi correspond chaque éléments, tout est pensé pour que chaque détails ait son utilité, on regrettera cependant la différence existante entre les niveaux, certains se contentent de parois nues et fades...
Il peut également y avoir quelques bugs de collisions, mais bon, soyons honnête, on ne joue pas à un jeu des années 90 pour ses graphismes ! On ne joue d'ailleurs pas à un jeu actuel pour ses graphismes, mais cela, ça n'engage que moi...
Les temps de chargements quant à eux sont plutôt court, 2 à 3 secondes... pas le temps de faire autre chose, on est donc littéralement plongé dans le jeu, si l'on est (très) courageux et si l'on a le stock nécessaire de café chez soi, finir le jeu d'une traite est tout à fait possible. Comptez environ une dizaine voir une quinzaine d'heure pour finir les 30 niveaux du jeu sans le connaître, toutefois cette durée peut varier si l'on décide ou non de fouiller les moindres recoins du jeu, et ramassez tous les calices vous permettant d'avoir toujours plus d'armes disponibles. Pensez tout de même à faire une pause lorsque vous verrez apparaître sur vos murs des gargouilles se moquant de vous, sinon nous aurons encore le droit au refrain habituel des jeux vidéos qui seraient la cause de graves problèmes cérébraux...
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Il y a des licences qui sont utilisées jusqu'à la moelle pour remplir les poches de personnes n'ayant jamais touché un jeu vidéo de leur vie, MediEvil n'en fait fort heureusement pas parti.
Alors, devons-nous remercier Sony de ne pas avoir détruit l'image de cette série en ne sortant pas d'opus médiocres sur les consoles dernières génération ? Ou au contraire devons-nous nous indigner et fustiger le géant japonais de ne pas pouvoir profiter plus du charisme de ce cher Sir Daniel Fortesque ?
Chacun sera libre de juger cela comme bon lui semble...
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Flamby :
Le test de la quatrième place ! Complet, aisé à parcourir ; un peu trop standard aussi et basé trop souvent sur la description. Davantage d'engagement est le bienvenue, tenez-vous le pour dit les gars !
En tout cas, tu as bien ciblé l'humour particulier et réussi du jeu, et ton enthousiasme passe bien. A vrai dire, tu m'as même donné envie de retoucher à cette perle de la psone, c'est donc que tu as une bonne plume dans le fond, mais qui reste encore à travailler.
Et au fait, le pilon de poulet, c'est de la merde !
Flamby- Apprenti
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Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Marty a écrit:EDIT des tests avec les critiques de Game-Odyssey.fr
Aucun commentaire sur le mien?
Godfather- Rédacteur
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Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Le vainqueur est toujours parfait c'est bien connu
Iga Biva- Apprenti
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Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Iga Biva a écrit:Le vainqueur est toujours parfait c'est bien connu
Exactement. Je laisse le jugement à Dieu lui même... Pas le charlatan, le vrai.
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Pardon???
Tu vas laisser un mec qui vient une fois par semaine expliquer les défauts du test de Godfather?
Et qui en plus ne fait point partie du staff de Game Odyssey?
Mouai...
Tu vas laisser un mec qui vient une fois par semaine expliquer les défauts du test de Godfather?
Et qui en plus ne fait point partie du staff de Game Odyssey?
Mouai...
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Il parlait du vrai Dieu.
Mais pourquoi n'y a t il pas de critique sur mon test? Explanation, i need one.
Mais pourquoi n'y a t il pas de critique sur mon test? Explanation, i need one.
Godfather- Rédacteur
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Date d'inscription : 12/04/2012
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Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Le Dieu du forum est un usurpateur!
Godfather- Rédacteur
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Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Dieu n'existe pas, et comme celui du forum daigne au moins apparaitre de temps à autre... lui il existe.
Bon on ne va pas en faire un débat, d'autant plus que la religion c'est comme la politique, ce sont 2 sujets qui finissent toujours mal.
Toujours est-il que j'aimerai savoir les reproches du test de Godfather. Ils ne sont peut-être pas méchants, mais ça peut nous servir aussi.
Bon on ne va pas en faire un débat, d'autant plus que la religion c'est comme la politique, ce sont 2 sujets qui finissent toujours mal.
Toujours est-il que j'aimerai savoir les reproches du test de Godfather. Ils ne sont peut-être pas méchants, mais ça peut nous servir aussi.
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
J'aimerais les connaitre aussi, pour améliorer mes futures test/actus/dossiers.
Et qui sait... Chroniques pour entendre ma voix de pucelle de 14 ans?
Et qui sait... Chroniques pour entendre ma voix de pucelle de 14 ans?
Godfather- Rédacteur
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Date d'inscription : 12/04/2012
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Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
C'est vrai qu'il faudrait penser à faire une chronique, parce-que c'est bien beau d'avoir un super générique et tout et tout, mais si c'est juste pour avoir un bon générique...
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Je suis sûr qu'une chronique faite uniquement du générique et d'un message textuel résumant le tout ferait un tabac
Iga Biva- Apprenti
- Messages : 338
Date d'inscription : 01/06/2012
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Localisation : Sur la planète Japon
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Xced R a écrit: C'est vrai qu'il faudrait penser à faire une chronique, parce-que c'est bien beau d'avoir un super générique et tout et tout, mais si c'est juste pour avoir un bon générique...
Mister T- Dépucelé
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Date d'inscription : 29/03/2012
Age : 33
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
Une seule chronique, c'est peu... Je m’arrangerais peut-etre pour en faire une dans quelques temps si je trouve du matériel d'enregistrement et suffisamment de temps. Cela dit, attendez une plombe, j'ai pas le temps en ce moment.
A propos, C'est lequel le meilleur logiciel de capture d'images gratuit du marché?
A propos, C'est lequel le meilleur logiciel de capture d'images gratuit du marché?
Godfather- Rédacteur
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Date d'inscription : 12/04/2012
Age : 27
Localisation : Nord. Mais pas consanguin.
Re: Concours Game Odyssey de JUIN 2012
P*tain alors là je suis sur le c*l, et je me sens un peu c*n en même temps (va falloir faire un petit post vite fait pour nous dire les mots autorisés pendant que j'y pense, ça m'évitera de mettre plein d'astérisques).
Plusieurs fois je suis passé devant l'article en page d'accueil du site, et je l'ai zappé?!
Faut que je retourne voir mon ophtalmo.
Plusieurs fois je suis passé devant l'article en page d'accueil du site, et je l'ai zappé?!
Faut que je retourne voir mon ophtalmo.
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